"Financialisation of Enterprises and Social Dialogue", report on private equity prepared by Syndex (CFTD)
Financiarisation des entreprises et dialogue social, étude sur les fonds LBO, préparée par Syndex (CFDT)
06/01/2009
Attachment include the executive summary (eng & fr) of a study prepared by Syndex - French CFDT's arms-length consultancy for works councils and EWCs - and published in November 2008.
"The aim of this study is to appreciate the nature and magnitude of the various impacts the financialisation of enterprises has had on employees and their representatives, in particular with regard to social dialogue and power relationships within enterprises.
The financialisation of enterprises has been the subject of a large number of studies that have sought to analyse the process by means of which financial activities have been given priority over the production of goods and services that create real wealth, thus causing a delinking between the respective dynamics of earned income and capital. But the relationships between financialisation and employees and their representatives still for the most part need to be explored, from the point of view of both the employees’ and their representatives’ capacity to understand the logics at work and of the place they wish to occupy in the process of financialisation. As there is an exploratory dimension to this study, therefore, it aims to open rather than conclude a process of reflection on this relationship."
"La présente étude a pour objectif d’apprécier la nature et l’ampleur des impacts de la financiarisation des entreprises sur les salariés et leurs représentants, notamment en ce qui concerne le dialogue social et les rapports de force dans l’entreprise.
La financiarisation des entreprises a fait l’objet de très nombreux travaux qui ont cherché à analyser ce processus à travers lequel les activités financières ont été priorisées par rapport à la production de biens et de services créateurs de richesses réelles, engendrant un découplage des dynamiques des revenus du travail et du capital. Mais les relations que la financiarisation entretient avec les salariés et leurs représentants restent encore largement à défricher, sous l’angle de la capacité des salariés et de leurs représentants à comprendre les logiques à l’œuvre et de la place qu’ils souhaitent y occuper. Cette étude a une dimension exploratoire et vise donc à ouvrir plus qu’à conclure des réflexions sur cette relation."